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De l'auteur : Un psychologue peut-il ressentir le blues de l'automne, la « dépression » jaune ? Il existe une croyance selon laquelle pour travailler avec des gens, il faut être une super personne qui possède tous les avantages dans tous les domaines de la vie. Alors, a-t-on le droit de se morfondre ? « Alors que le pantalon de survêtement et le maillot de bain prenaient déjà la poussière sur l'étagère depuis la deuxième semaine, ou plutôt, allongés quelque part, elle a commencé à s'inquiéter un peu parce qu'elle n'avait plus de force... Et ils sont venus de nulle part. Elle ressentait de la tristesse et du désir. Et en écoutant la radio, elle a appris que des scientifiques étrangers avaient découvert que le manque de sommeil et le temps automnal affectent négativement une personne, éveillant en elle un sentiment de mélancolie et une envie de s'allonger sous une couverture. Et c’est à ce moment-là qu’elle réalisa ce qui lui arrivait. Mais la compréhension et la prise de conscience ont rendu la tâche encore plus difficile, car elle ne pouvait toujours pas se lever du canapé et ne voulait pas, car il n'y a pas de meilleur remède contre le blues automnal que de reconnaître de plus en plus sa présence ces derniers temps. souvent de la part de collègues, de parents et d'amis, j'entends la phrase selon laquelle le blues de l'automne, la dépression de l'automne a pris le dessus, réveillant tristesse et mélancolie. Qu'est-ce qui nous arrive? C’est comme si la vie avait disparu quelque part, l’énergie, la passion et l’impulsivité avaient disparu. Il est peut-être temps de partir à la recherche de tout cela ? Mais où le trouver ? Et que trouver ? Le plus triste dans tout cela, c'est qu'à ce moment de la vie, nous cessons d'attendre quelque chose de bien, mais comme si nous essayions simplement de survivre à ce qui est mauvais pour nous. Je suis d'accord avec la nature cyclique : après la joie, il peut y avoir la tristesse, et après les larmes vient le rire, l'été cède la place à l'automne et le soleil cède la place à la pluie. Un psychologue peut-il ressentir le blues de l'automne, faire l'expérience de la « dépression » jaune ? Il existe une croyance selon laquelle pour travailler avec des gens, il faut être une super personne qui possède tous les avantages dans tous les domaines de la vie. Alors, avons-nous le droit de nous morfondre ? Posez-vous cette question, répondez-y en silence. Et je répondrai à haute voix qu'il a le droit. Soyez honnête avec vous-même, soyez une personne normale comme tout le monde ! En travaillant avec mes clients, je ressens l’opportunité de leur démontrer que, tout comme une autre personne, à certains moments de ma vie, je veux m’envelopper dans une couverture, mais que, pour diverses raisons, je ne le fais pas. Je leur démontre combien il faut choisir ce qui est important pour vous et refuser ce qui ne l'est pas, quel que soit votre état émotionnel, que je continue de respecter. Je voudrais vous proposer un exercice au nom intrigant - « Sans a ». masque", dont le but est de se révéler aux gens, à un groupe et, dans notre cas, à soi-même - en reconnaissant ses faiblesses et ses forces. Pour le matériel, vous aurez besoin de cartes avec des phrases. Je vous donne des instructions pour le format de groupe, car j'aime l'utiliser lorsque je travaille en groupe pour que chacun puisse se connaître et se connaître. Consignes : « Chaque participant reçoit une carte avec une phrase écrite qui n'a pas de fin. Sans aucune préparation préalable, il doit continuer et compléter la phrase. La déclaration doit être sincère. Si le reste du groupe se sent faux, le participant devra prendre une autre carte. » Contenu approximatif des cartes : 1. « J'aime particulièrement quand les gens autour de moi… » ; 2. « Ce que je veux parfois vraiment, c'est… » ; 3. « Parfois, les gens ne me comprennent pas parce que je… » ; 4. « Je crois que je… » ; 5. « J’ai honte quand je… » ; 6. « Ce qui m'irrite particulièrement, c'est que je… » ; 7. « Je crois que je… » ; 8. « Vous pouvez me faire confiance parce que je… » ; 9. « Je déteste... » ; 10. « Tout m'est possible, parce que je... » ; 11. « Je suis un bon ami parce que je… » ; 12. « J’aime par-dessus tout… » ; 13. « Ma plus grande peur est que je… » ; 14. « Je ne sais pas comment… » ; 15. « Je suis habitué au fait que je… » ; 16. « Ce qui me dérange le plus, c'est que je… » ; 17. « Je me demande souvent… » ; 18. « On me pose souvent la question… » ; 19. « Je suis le plus » ; 20. "Je n'aime surtout pas quand..." ; 21. « Je connais le sentiment aigu de solitude. Je me souviens..."; 22. « Je veux vraiment oublier ça… » ; 23. « Avant, c’était.

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