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De l'auteur : Publié sur le site de l'auteur www.annanterapia.fi Le besoin d'amour et d'affection, d'appartenir à une famille, d'être nécessaire à maman, papa, grand-mères, frères... est un besoin humain fondamental. S'il est satisfait, alors l'enfant grandit en bonne santé, équilibré, amical et harmonieux. Par conséquent, il est important de dire à votre bébé qu'il vous est cher, qu'il est bon, merveilleux, gentil et que vous êtes heureux qu'il existe. Montrez-lui à quel point vous êtes heureux de le revoir après la maternelle, l'école ou après quelques heures de marche seule. La capacité d’écouter un enfant, lui montrant que vous prenez ses histoires et ses opinions au sérieux, est également une qualité inestimable d’un parent attentionné. Si vous voyez qu'un enfant a eu des problèmes, qu'il est offensé, confus, bouleversé, qu'il souffre, ayez pitié, réconfortez-le, peu importe ce qui s'est passé et qui est à blâmer. Ensuite, le bébé conservera sa confiance en vous. Et il partagera ses problèmes même à l'adolescence. Porter seul le fardeau des expériences est un fardeau insupportable pour un enfant (et pour un adulte aussi). Et notre empathie parentale peut faire des merveilles. Le chagrin partagé est réduit de moitié, la joie partagée est doublée. Il faut toujours consoler, mais découvrir qui est à blâmer est inutile et inutile lorsque les sentiments ne se sont pas apaisés. De plus, la proximité physique a un effet très bénéfique sur l'état et le comportement de l'enfant. Cela vaut la peine de tenir le bébé dans vos bras plus souvent. S'il est plus âgé, vous pouvez l'asseoir sur vos genoux. Tant que le parent peut le supporter. Même un écolier peut s'asseoir sur vos genoux. Lorsqu'il grandit, vous pouvez le serrer dans vos bras, le caresser et le secouer doucement. Durant une période de changements importants dans la famille, l'enfant a particulièrement besoin de l'affection et des soins de ses parents. Les parents peuvent le ressentir lors d'un déménagement, lors de l'adaptation à la maternelle ou à l'école, si nécessaire, en l'envoyant longtemps chez sa grand-mère, en étant sans parents à l'hôpital, lors de divorces et de querelles entre parents, lors de l'agrandissement de la famille. Même si ce n’est pas facile pour le parent lui-même durant cette période, il est important d’accompagner l’enfant et de lui accorder une attention particulière. Alors les peurs et le chagrin ne s'installeront pas dans son âme et son comportement sera prévisible et compréhensible. Les psychologues identifient plusieurs raisons à l'origine de troubles graves du comportement chez les enfants. La principale est l'exigence de soins et d'amour. Si l'enfant ne les reçoit pas, il enfreint les règles ou la routine afin d'obtenir sa « part d'attention », au moins sous forme de commentaires et de cris. C’est mieux pour lui que rien du tout. Une autre raison est la lutte pour l’affirmation de soi contre le pouvoir parental excessif et la tutelle. La raison suivante est le désir de vengeance. Les enfants sont souvent offensés par leurs parents, même si tout le monde ne sait pas (ou n'ose) le dire directement. Enfin, une autre raison est la perte de confiance en sa propre réussite. Je vois 2 raisons principales de désobéissance : 1) la violation du droit de certains enfants à satisfaire leurs besoins en fonction de leur âge, décrit ci-dessus, et 2) l'anxiété accrue de l'enfant. Cela résulte de l'imprévisibilité du comportement du parent (peut-être aussi alarmant), d'un changement soudain de la situation et de relations non constructives et hostiles au sein de la famille, d'une surcharge d'émotions. Et cela ne permet pas au sentiment de sécurité de s'installer et perturbe le processus de formation d'une confiance fondamentale dans le monde et en soi. Tous les enfants éprouvent de temps en temps de la peur et de l'inconfort, c'est naturel, mais tout le monde ne sait pas comment le montrer. le dire, et encore moins le dire. Et il est impossible pour un enfant de se rendre compte, par exemple, qu'il a peur d'un parent - un être cher. Et l’anxiété n’est pas facile à identifier, même pour les adultes. Mais on peut le reconnaître à des signes indirects - psychosomatiques, désinhibition ou raideur, difficultés d'endormissement et cauchemars, jouets cassés, vulnérabilité au moment de se séparer, caprices, masturbation, problèmes de toilette, attachement aux rituels, etc. Si vous comprenez la véritable raison de la désobéissance, alors l'enfant peut et doit être aidé. Ensuite, cela vaut la peine de modifier vos réactions et vos attentes à l’égard de l’enfant, de mettre de côté les critiques à l’égard de vous-même et de l’enfant et de détourner votre attention de vos attitudes négatives..

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