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De l'auteur : Suite de la conversation sur le problème de la préparation des futurs élèves de première année à l'école. Observations et réflexions d'un psychologue scolaire Poursuivons la conversation sur le problème de la préparation des futurs élèves de première année à étudier à l'école. À partir de https://www.b17.ru/article/80403/La préparation intellectuelle implique qu'à l'âge de 6-7 ans, un enfant doit maîtriser un certain ensemble de concepts et les opérations les plus simples de la pensée logique. Je commence généralement l’entretien en faisant connaissance avec l’enfant. Je lui demande de donner son nom, prénom, adresse, patronyme, et nom complet de ses parents. C'est là que le rôle des parents dans son développement est le plus souvent visible. Parfois, un enfant qui s'acquitte facilement d'autres tâches ne peut pas répondre à ces questions simples. Par exemple, il a du mal à donner le nom de famille de son père et ne connaît pas sa date de naissance. Les enfants disent : « Maman ne me l’a pas dit. » Cela ne semblerait rien de compliqué. Mais, hélas... Mais il suffit de communiquer avec l'enfant, non pas par à-coups, mais constamment, jour après jour, de lui parler du monde qui l'entoure. C'est auprès des parents que l'enfant doit apprendre pourquoi il porte un tel nom de famille, d'où vient son patronyme et qui sont ses grands-parents. Il est important de ne pas seulement former l'enfant pour qu'il apprenne automatiquement les noms de sa mère et de son père. Il faut qu'il comprenne et distingue où se trouve le nom de famille et où se trouve le patronyme. Des parents, l'enfant doit se renseigner sur les saisons, les noms des mois, les jours de la semaine, etc. Pour ce faire, il n'est pas du tout nécessaire d'asseoir l'enfant à table et de l'obliger à mémoriser cette information. Il suffit de lui parler en marchant, en voyageant dans les transports en commun ou en jouant à des jeux ensemble. Une telle communication élargit les horizons du bébé, renforce le contact avec l’enfant et développe la parole. Mais le développement de la parole est l'indicateur le plus important du développement général d'un enfant d'âge préscolaire. Il est important d'enseigner à l'enfant des compétences en matière de soins personnels (apprendre à s'habiller et à se déshabiller de manière indépendante, à nouer ses lacets et aux éléments d'hygiène). Une attention particulière doit y être portée si l'enfant n'a pas fréquenté la maternelle. À l'école, il devra changer lui-même de vêtements pour l'éducation physique et la chorégraphie. Malheureusement, on peut souvent voir une image où, après un cours d'éducation physique, la plupart des enfants ont déjà enfilé leur uniforme scolaire, et certains de leurs camarades se promènent encore sans pantalon (littéralement) au début du cours 15. quelques minutes ne leur suffisent pas pour changer de vêtements par eux-mêmes. L'observation des parents lors d'un entretien avec un enfant donne beaucoup de matière à réflexion. En règle générale, les parents sont présents à l'entretien, mais ne doivent pas interférer avec le processus. Habituellement, je les envoie « loin » sur le canapé pour que l'enfant puisse montrer son indépendance. C'est génial quand maman et papa viennent avec l'enfant, observent attentivement, écoutent attentivement les informations sur les résultats de la conversation, les recommandations. Le plus souvent, quelqu'un vient seul. Il y a des mères qui se mettent immédiatement à penser à leurs propres affaires ou à se plonger dans leur smartphone. On dirait qu’ils ne se soucient pas beaucoup de ce qui se passe. Nous avions besoin d'être convoqués pour un entretien, alors nous sommes venus. Il y a le type inverse. Ils essaient de s'asseoir plus près, se précipitant tout leur corps vers l'enfant. Il est important pour eux de contrôler le processus. Ils ne manquent pas un seul mot. C'est comme une corde tendue. Si un enfant ne répond pas immédiatement à la question d’un psychologue et se perd dans ses pensées, c’est tout simplement un désastre. Les mères commencent à l'inciter, à l'expliquer, à lui trouver des excuses (il le sait) et à l'encourager à se souvenir. J'essaie de limiter leur activité par un geste, mais cela n'aide pas toujours. Ce style parental se manifeste immédiatement dans le comportement de l’enfant. Il regarde constamment sa mère, cherchant son approbation ou sa permission ; s'il ne peut pas répondre tout de suite, il se perd vite, se tait et parfois se retire. Ces enfants ne sont pas en sécurité, parlent doucement et ont peur de faire des erreurs. Et c'est déjà un motif d'inquiétude. Après l'entretien, je communique définitivement avec les parents. Je parle à ces mères du droit de l’enfant à faire des erreurs, de la nécessité de développer la bonne attitude face aux erreurs et aux échecs. Faire des erreurs dans le processus d’apprentissage est normal, ni effrayant ni honteux. L'enfant ne devrait pas être"

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