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Catastrophisation La dernière fois, nous avons commencé à parler de distorsions cognitives, ou d'erreurs de pensée, lors de l'interprétation des événements de notre vie. Il existe plusieurs erreurs de ce type en thérapie cognitivo-comportementale. Nous avons analysé la pensée en noir et blanc (dichotomique). Une autre erreur de pensée très courante est la catastrophisation. La catastrophisation consiste à prédire l'avenir exclusivement en termes noirs sans tenir compte de la probabilité d'une évolution positive des événements. Exemples : « Si elle me quitte, ce sera le cas. ce sera la fin du monde pour moi ! », « Je vais définitivement rater cette interview ! Je ne trouverai jamais de travail », « Personne ne m'aime, je vais rester seul et mourir seul ! » Mots marqueurs : « catastrophe », « cauchemardesque », « terrible », « effrayant », « fin du monde ». », « et si », « et si », « mais peut-être », etc. Même si les mots « catastrophe », « terrible », « cauchemardesque » ne sont pas prononcés, ils sont sous-entendus : « Je ne trouverai jamais de travail ! » = c'est un désastre !, "Personne ne m'aime, je mourrai seul !" = c'est terrible ! Mais ! Les pensées sur l'avenir ne sont toujours que nos fantasmes, parce que... nous ne pouvons pas connaître l'avenir. La probabilité d’un événement n’est pas égale à la certitude. Alors pourquoi ne pas fantasmer de manière optimiste ? Ou du moins d'une manière plus réaliste : « Je peux réussir cet entretien. » « Lire dans les pensées » Mais mon erreur préférée est de « lire dans les pensées ». Il est étonnant de constater à quel point les gens ne peuvent pas distinguer où finissent leurs propres pensées et où commencent les pensées des autres. La « lecture dans les pensées » se produit lorsqu'une personne est sûre de savoir ce que pensent les autres et refuse d'envisager d'autres explications, peut-être encore plus probables, de ce qui se passe. Il perçoit ces pensées comme un fait, comme quelque chose qui s'est déjà produit. Exemples : « Il pensait que j'étais un imbécile ! », « Ils pensent que je ne peux pas gérer ça. », « Elle pense probablement que je suis fou ! Signes : attribuer à autrui des idées non dites. Mots marqueurs : « il (elle/ils) pense(s) », « il (elle/ils) pense(s) ». Lire dans les pensées – tout comme prédire l’avenir – dépasse nos capacités. Autrement dit, ce ne sont que nos fantasmes. Eh bien, nous ne savons pas lire les pensées des autres !! N’est-il donc pas parfois plus avantageux pour nous de penser à quelque chose de plus réaliste ? Par exemple, au lieu de « Il pensait que j’étais un imbécile ! » - "Peut-être a-t-il remarqué que je ne comprends pas du tout ce problème." A suivre......Article précédent : Erreurs de réflexion. Pensée en noir et blanc Avec respect et attention, psychologue consultante Yulia Kuntysh Si vous en avez assez de vous débrouiller seul, je vous invite à une consultation ! WhatsApp, télégramme, Viber +7 921 993-16-39

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